Bracelet Le Désir en argent 925 recyclé

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Pièce iconique de la Maison Acmée, le bracelet Le Désir porte en lui l’ADN de la marque. Un équilibre subtil entre la perpétuation du savoir-faire ancestral du métier de bijoutier et de ses valeurs fondamentales, et la volonté de la Maison de s'affranchir de ses codes les plus classiques.

Fabriqué en France

Or, argent et diamant recyclés

Fait main à la commande

Bracelet Le Désir en argent 925/1000ème.

Poids moyen d'argent : 80 g.

Dimensions :
- Largeur des 3 griffes : 45mm
- Diamètre interne : 55mm
- Taille unique et réglable

Inspiration : un bracelet qui brise les codes classiques

Pièce forte et iconique de la Maison Acmée, le bracelet Le Désir a lancé la marque à Buenos Aires et l’a placé directement parmi les nouveaux entrant de la scène joaillière d’avant-garde.

Pour sa première pièce, la créatrice a fait le pari de débrider sa créativité et a imaginé cette pièce extravagante comme une allégorie de la puissance féminine.

Pour certain serres d’aigle et pour d’autre serres de dragon, la pièce ouvre les portes d’un monde imaginaire à part, fait de mythes, de désir et de jeux de pouvoir.

Une sculpture à la main pour un bracelet unique

A partir des dessins et croquis de notre créatrice, chaque griffe a été sculptée séparément dans un bloc de cire spéciale. Ce travail d’orfèvre, réalisé à la main, a requis 32 heures de taille afin d’obtenir les courbes et volumes idéaux pour le développement du bracelet en argent.

Aujourd’hui la sculpture dans la cire est une méthode qui n’est quasiment plus utilisées par les joailliers, remplacée peu à peu par l’impression 3D.

La préparation de la cire qui sera sculptée en forme de griffe

La première griffe sculptée à partir d’un simple bloc

La technique ancestrale de la fonte à cire perdue

La fonte à cire perdue est une technique ancestrale utilisée depuis le IVe millénaire av. J.C a partir de cire d’abeille. Afin de reproduire chaque griffe à l’identique, un moulage des cires est réalisé. Elles sont ensuite disposées autour d’une tige pour former un arbre de coulé, qui est placé dans un cylindre de métal.

Un nouveau moule en plâtre est alors créé, comprenant cette fois la forme des 3 griffes, prêt à accueillir le métal en fusion. Le métal précieux est chauffé à haute température de façon à ce qu’il devienne liquide et vienne remplacer, en le faisant fondre, les modèles en cire. La cire est alors perdue, d’où le nom de la technique.

L’assemblage du bracelet dans la pure tradition bijoutière

L’assemblage du bracelet en argent requiert minutie et dextérité de la part de nos artisans. Une fois les griffes débarrassées des résidus de métal suite à la fonte (on parle de reprise de fonte), deux d’entre elles sont soudées ensemble.

Un précieux savoir-faire et une attention méticuleuse aux détails

A l’aide d’une pince, le joaillier créé ensuite un ressort à partir d’un fil d’argent. Celui-ci permettra d’assembler les griffes face à face. Cette petite pièce cachée est la clé du bracelet : sa tension maîtrisée permet aux griffes d’enserrer doucement le poignet de celle qui le porte. Enfin, la dernière étape consiste à enchemiser le bracelet.

L’enchemisage consiste à recouvrir les parties internes du bracelet d’une plaque d’argent et d’obtenir ainsi ce bel aspect lisse qui participe à son confort. Dans notre cas la chemise d’argent vient également recouvrir notre système de fermeture.

Une finition avec une touche de féminité et de sophistication

Il existe autant de finitions qu’il est possible de les imaginer. Les pièces de la Maison Acmée ont toutes une même finition appelée « polis miroir ». Comme son nom l’indique, la pièce finale brille de telle manière qu’il est possible d’y voir son reflet. Cet effet miroir s’obtient en polissant à la main chaque surface de la pièce afin d’en éliminer chaque infime aspérité.

La finition polie apporte au bracelet en argent Le Désir une ultime touche de féminité et de sophistication.

L’application des poinçons

Saviez-vous qu’en France il existe deux poinçons obligatoires pour les pièces en or ? Le premier est le poinçon de fabricant (appelé aussi poinçon de maître), un titre décerné par l’État français qui nous habilite à fabriquer des bijoux en matières précieuses.

Le deuxième est le poinçon de titre qui stipule de la valeur de la pièce. Enfin dans notre cas nous apposons aussi le poinçon de marque pour identifier le caractère unique de nos designs.

Il existe aujourd’hui deux techniques pour apposer les poinçons : la gravure au burin ou au laser. Le choix de la technique dépend souvent du design de la pièce. Plus la pièce est petite avec peu de surface plane et plus la gravure sera complexe. Dans ce cas on préfèrera choisir la gravure au laser.

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